Sœurdres

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Sœurdres
Sœurdres
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Segré
Commune Les Hauts-d'Anjou
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Benoit Ermine
2020-2026
Code postal 49330
Code commune 49335
Démographie
Gentilé Sœurdréen
Population 390 hab. (2014)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 20″ nord, 0° 34′ 23″ ouest
Altitude Min. 39 m
Max. 79 m
Superficie 15,24 km2
Élections
Départementales Tiercé
Historique
Fusion 15 décembre 2016
Commune(s) d'intégration Les Hauts-d'Anjou
Localisation
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Sœurdres
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Sœurdres
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Sœurdres

Sœurdres est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire. Le , la commune devient une commune déléguée au sein de la commune nouvelle des Hauts-d'Anjou[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce village angevin se situe au nord du département dans la partie orientale du Segréen[2], sur la route D 78 qui va de Marigné à Miré, et sur la D 173 qui va de Brissarthe à Daon, en limite du département de la Mayenne[3].

Le Segréen est la partie nord-ouest du département de Maine-et-Loire. Elle est délimitée au sud par la Loire et à l'est par la vallée de la Sarthe[4].

Aux alentours[modifier | modifier le code]

Les communes les plus proches sont Cherré (3 km), Marigné (4 km), Saint-Laurent-des-Mortiers (4 km), Contigné (4 km), Saint-Michel-de-Feins (4 km), Argenton-Notre-Dame (5 km), Daon (5 km), Miré (7 km), Querré (7 km) et La Jaille-Yvon (8 km)[5].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 39 à 79 mètres[6], pour une altitude moyenne de 59 mètres. Son territoire se trouve sur un plateau avec deux bassins versants, l’un sur la Mayenne et l’autre sur la Sarthe. Situé à l'extrémité est du Massif armoricain, le relief du Segréen est principalement constitué de sols argileux ou argilo-siliceux, en un relief modéré[7].

La commune de Sœurdres s'étend sur plus de 15 km2 (1 524 hectares)[6]. Son territoire figure à l'inscription[8] du schéma d'aménagement et de gestion des eaux pour les zones de la Mayenne et l’aval de la Sarthe.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La rivière la Mayenne traverse la commune. Y naissent les ruisseaux des Vallées et de la Maladrie[3].

Climat[modifier | modifier le code]

Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particulièrement doux, du fait de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelés rares et les étés ensoleillés[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Morphologie urbaine : le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

En 2009 on trouvait 147 logements sur la commune de Sœurdres, dont 85 % étaient des résidences principales et dont 83 % des ménages en étaient propriétaires[9]. En 2013, on y trouvait 160 logements, dont 86 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 85 % des ménages en étaient propriétaires[10].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Formes anciennes du nom : Villa cujus est vocabulum Cirda en 845, Decima de Cerda en 1209, Ecclesia de Cerda en 1218, Cerdre en 1242, La paroisse de Cerdre en 1393, La ville de Serdre en 1411, Sardra en 1419, Parochialis ecclésial de Seurdre en 1443, Seurdre en 1601, Seurdres en 1760, Sœurdres en 1832, Seurdres en 1878[11],[12] et 1793, avant de devenir Sœurdres en 1801[13].

Jusqu'à la Révolution française, le Segréen était connu sous le nom de Craonnais.

Nom des habitants (gentilé) : les Sœurdréens[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Aucune trace antique n'a été constatée sur Sœurdres, qui pour autant devait être traversé par la voie de Brissarthe à Daon, et par une autre, ascendante, vers Saint-Laurent-des-Mortiers[15].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

On retrouve la trace au IXe siècle d'une villa, comprenant une chapelle en son centre, le tout appartenant au comte Thibault, abbé de Saint-Jean-Baptiste d'Angers[15].

Au Moyen Âge, la paroisse appartient aux seigneurs de Salles, comprenant également celle de Miré. Ils le seront jusqu'au début du XVIIIe siècle[15].

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, Sœurdres relève du doyenné d'Écuillé, et de l'élection d'Angers[15].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, la commune est rattachée en 1793 au canton de Contigné et au district de Châteauneuf, puis en 1800 au canton de Châteauneuf et à l'arrondissement de Segré[13].

Comme les communes environnantes, Sœurdres se trouve au début du XVIIIe siècle en territoire contrôlé par les chouans. Les 27 et Joseph-Juste Coquereau est signalé avec sa bande à Sœurdres et à Marigné. Avec quelques jeunes gens du pays, il rejoint les divisions bretonnes des Vendéens[15].

Un rapprochement intervient en 2016. Le , les communes de Brissarthe, Contigné, Cherré, Champigné, Marigné, Sœurdres et Querré, s'associent pour former la commune nouvelle des Hauts d'Anjou. Sœurdres en devient une commune déléguée[1]. Un nouveau regroupement intervient en 2019 avec l'intégration de la commune de Châteauneuf-sur-Sarthe, qui devient alors le siège de la nouvelle commune[16].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Administration actuelle[modifier | modifier le code]

Depuis le , Sœurdres constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle des Hauts d'Anjou et dispose d'un maire délégué[1].

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
décembre 2016 mai 2020 Alain Foucher[17]    
mai 2020   Benoit Ermine[18]    
Les données manquantes sont à compléter.

Administration ancienne[modifier | modifier le code]

La commune est créée à la Révolution. Commune en 1790, Sœurdres[13]. Le conseil municipal de Sœurdres est composé de 11 élus[19].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1977 1983 Paul Cherbonneau    
1983 2001 Robert Baert    
2001 décembre 2016 Alain Foucher[20]   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Les jumelages sont suivis par le Comité de jumelage du Freu. Cherré, Marigné et Sœurdres sont jumelées avec Blindheim, Wolpersteten, Unterglauheim[14].

Ancienne situation administrative[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Sœurdres est membre jusqu'en 2016 de la communauté de communes du Haut-Anjou. Cette structure intercommunale regroupe onze communes dont Miré, Contigné, Cherré et Brissarthe[21]. La communauté de communes est membre du Pays de l'Anjou Bleu, structure administrative d'aménagement du territoire. Cette intercommunalité comprend six communautés de communes : Candé, Segré, Haut-Anjou, Ouest-Anjou, Lion-d'Angers et Pouancé-Combrée.

Le , la commune nouvelle de Les Hauts-d'Anjou entraine sa substitution dans les établissements de coopération intercommunale[1].

Autres circonscriptions[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 2014, Sœurdres fait partie du canton de Châteauneuf-sur-Sarthe et de l'arrondissement de Segré[13],[22]. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Tiercé, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[23].

Sœurdres fait partie de la première circonscription de Maine-et-Loire, composée de cinq cantons dont Châteauneuf-sur-Sarthe et Tiercé. La quatrième circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.

Population et société[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25],[Note 1].

En 2014, la commune comptait 390 habitants, en augmentation de 14,71 % par rapport à 2009 (Maine-et-Loire : 3,2 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
663437646746860865861713689
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
685687667615592565540498500
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
473467456424409401390375387
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 2014
353365319282282247335387390
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (15,2 %) est en effet inférieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,7 % contre 48,7 % au niveau national et 48,9 % au niveau départemental).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

  • 50,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 24,1 %, 15 à 29 ans = 14,1 %, 30 à 44 ans = 26,5 %, 45 à 59 ans = 19,4 %, plus de 60 ans = 15,9 %) ;
  • 49,3 % de femmes (0 à 14 ans = 27,3 %, 15 à 29 ans = 18,2 %, 30 à 44 ans = 24,8 %, 45 à 59 ans = 15,2 %, plus de 60 ans = 14,6 %).
Pyramide des âges à Sœurdres en 2008 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90  ans ou +
0,6 
7,1 
75 à 89 ans
7,3 
8,8 
60 à 74 ans
6,7 
19,4 
45 à 59 ans
15,2 
26,5 
30 à 44 ans
24,8 
14,1 
15 à 29 ans
18,2 
24,1 
0 à 14 ans
27,3 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[29].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90  ans ou +
1,1 
6,3 
75 à 89 ans
9,5 
12,1 
60 à 74 ans
13,1 
20,0 
45 à 59 ans
19,4 
20,3 
30 à 44 ans
19,3 
20,2 
15 à 29 ans
18,9 
20,7 
0 à 14 ans
18,7 

Vie locale[modifier | modifier le code]

Située dans l'académie de Nantes, l'école maternelle se situe sur la commune tandis que l'école primaire se situe sur celle de Contigné, dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[30].

La commune possède également une cantine scolaire et une salle des fêtes[14].

Il faut se rendre à Châteauneuf-sur-Sarthe, siège de la communauté de communes, pour trouver d'autres structures : gendarmerie, centre de secours, collège, maison de retraite, bureau de poste et trésorerie, ainsi que la plupart des structures de santé. L'hôpital local le plus proche se trouve à Château-Gontier (14 km) ou à Angers (30 km)[31].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Le revenu fiscal médian par ménage était en 2010 de 15 740 , pour une moyenne sur le département de 17 632 [9].

En 2009, 41 % des foyers fiscaux étaient imposables, pour 51 % sur le département[9].

Tissu économique[modifier | modifier le code]

En 2009, sur les 44 établissements présents sur la commune, 57 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 18 % sur le département), et en 2011, sur 41 établissements présents sur la commune, 56 % relevaient du secteur de l'agriculture, 2 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 22 % de celui du commerce et des services et 7 % du secteur de l'administration et de la santé[32]. Deux ans plus tard, en 2013, sur 37 établissements présents sur la commune, 43 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 3 % du secteur de l'industrie, 16 % du secteur de la construction, 30 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[10]

On y trouve un commerce multi services[14].

Agriculture[modifier | modifier le code]

L'activité agricole représente toujours l'activité la plus importante sur le territoire malgré la forte baisse du nombre d’exploitations.

Liste des appellations présentes sur le territoire[33] :

  • AOC Maine-Anjou,
  • IGP Bœuf du Maine, Volailles de Loué, Volailles du Maine, Volailles d’Ancenis, Œufs de Loué,
  • IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune de Sœurdres comporte une inscription au Patrimoine[34] :

Autres lieux et monuments :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Eugène Forget, (1901-1994), agriculteur et syndicaliste français, président de la FNSEA de 1946 à 1949 y est né.
  • Henri Bertron (1900-1975), général de corps d'armée, grand officier de la légion d'honneur, né à Soeurdres.[réf. nécessaire]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376), p. 405-407.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 3 (N-Z), Angers, Lachèse & Dolbeau libraires, , 1re éd., p. 526-527.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Arrêté préfectoral no  DRCL-BSFL-2016-134, « Recueil des actes administratifs de Maine-et-Loire, p. 9-11 », sur Préfecture de Maine-et-Loire, .
  2. Issu du découpage historique et administratif, encore en vigueur au début du XXe siècle, le département comporte les territoires du Baugeois (partie nord-est du département), du Saumurois (sud-est), des Mauges (sud-ouest) et du Segréen (nord-ouest). (cf. « Territoires du Maine-et-Loire, Pays d'Anjou », sur BDF49 (version du sur Internet Archive), consulté le .
  3. a et b IGN et BRGM, Géoportail Sœurdres (49), consulté le 5 juillet 2010.
  4. Paul Wagret, Jacques Boussard, Jacques Levron et Simone Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, (BNF 31614504), p. 10.
  5. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Sœurdres (49) », sur Lion1906, (version du sur Internet Archive) — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  6. a et b IGN, Répertoire géographique des communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 — Données consultables sur WikiAnjou.
  7. a et b Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Les régions naturelles, le climat », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
  8. DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource - Liste des zonages recensés sur la commune de Sœurdres, consulté le 22 septembre 2010.
  9. a b et c Insee, Statistiques locales 2009 du territoire de Sœurdres, consultées les 30 avril 2012 et 10 février 2013.
  10. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Sœurdres (49), consultées le 20 juillet 2016.
  11. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 193.
  12. Célestin Port 1878, p. 526 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
  13. a b c et d École des hautes études en sciences sociales, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Sœurdres, consultée le 24 octobre 2011 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  14. a b c et d « Sœurdres », sur C.C. Haut-Anjou, (version du sur Internet Archive).
  15. a b c d et e Célestin Port 1996, p. 405-407.
  16. Préfecture de Maine-et-Loire, « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Les Hauts-d'Anjou », Recueil des actes administratifs spécial no 84 du 26 novembre 2018,‎ , p. 15-17 (lire en ligne [PDF]).
  17. « Le conseil municipal », sur Mairie des Hauts-d'Anjou (consulté le ).
  18. « Châteauneuf-sur-Sarthe. Marilyne Lézé a été réélue maire », sur Ouest-France, (consulté le ).
  19. Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
  20. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
  21. Insee, Composition de l'EPCI du Haut Anjou (244900841), consulté le 30 novembre 2013.
  22. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Sœurdres, consultée le 22 février 2015.
  23. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  24. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  28. « Évolution et structure de la population à Sœurdres en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  29. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  30. « Commune de Contigné », sur Contigné, (version du sur Internet Archive).
  31. Fédération Hospitalière de France, Centre hospitalier du Haut Anjou (Château-Gontier) et Centre Hospitalier Universitaire (Angers), consulté le 27 octobre 2011.
  32. Insee, Statistiques locales du territoire de Sœurdres (49), consultées le 2 novembre 2014.
  33. INAO, fiche de Sœurdres (49), consultée le 22 septembre 2010 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
  34. Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée, consultée le 25 septembre 2010.
  35. a et b Célestin Port 1996, p. 406.
  36. Célestin Port 1996, p. 405.